Le massacre des Ouled Brahim
Le 21 du mois de Mouharram
1261 de l’Hégire (30 janvier 1845) à Aïn Ba Dahou, les Ouled Brahim,
une faction de la tribu des Bani Ameur, s’opposa à l’expropriation
de leurs terres et une soixantaine d’hommes munis de bâtons
attaquèrent le camp du bataillon du sixième régiment léger des
légionnaires. Cet acte de rébellion allait déclencher une terrible
répression sur plusieurs tribus des Bani Ameur.
Hani
‘Abdel Qadir nous l’a décrit avec minutie : « La journée même, les
douars des Ouled Brahim, informés des faits et redoutant la réaction
attendue des militaires français, tentèrent de s’enfuir avec leurs
troupeaux. Leur retraite fut coupée par la colonne du commandant
Vinoy rappelé en toute hâte de sa mission chez les Ouled Sliman qui
stoppa la fuite des populations des Ouled Brahim, les pilla impitoyablement
et leur enleva tout ce qui lui tomba sous la main, notamment « une
trentaine de chevaux ou mulets, plus de 200 bœufs ou vaches; 1.200
moutons ou chèvres ».
En outre, « 70 vieillards, femmes et enfants furent amenés en otage
». Plusieurs d’entre eux, peut-être tous, furent immédiatement
fusillés sans autre forme de procès. La répression fut si horrible
et si terrifiante que « les femmes dont les maris ont été tués n’ont
même pas osé les pleurer ».
Les victimes furent enterrées
au lieu-dit « Peuplier de ‘Abdel Qadir », dans l’actuel jardin
public, à l’endroit précis où est plantée une allée de cyprès. Peu
de temps après, plusieurs autres hommes furent arrêtés et envoyés à
Oran pour jugement, tandis que les biens de l’ensemble de la tribu
furent confisqués.
Un simulacre d’enquête fut rapidement mené quelques jours après. Le
rapport conclut que tous les Ouled Brahim, dont le caïd avait pris
la fuite, étaient compromis dans le complot. Plusieurs autres hommes
furent arrêtés et envoyés à Oran pour jugement.
Ben Kenadil Ben Djeffal
fut reconnu comme le principal instigateur du mouvement de révolte ;
il sera exécuté le 26 mai 1845 à Oran. Son exécution resta célèbre
dans les sinistres annales des exécutions. Le bourreau le mutila par
trois fois avant de l’achever par un dernier coup. Cette exécution
fut la dernière au Yatagan d’Oran ».
L’autorité militaire décida de confisquer à la tribu toutes les
bêtes de somme ou de transport, « chevaux, mulets et chameaux furent
enlevés à la tribu de manière à ce qu’elle ne put se déplacer ».
C’est pourtant ainsi diminués que les rescapés de la répression des
Ouled Brahim, terrorisés et ruinés, prendront la fuite pour le Maroc
quelques temps après. L’ampleur de la féroce répression contribua
probablement à déterminer les autres tribus Bani Amer et Hachem à
émigrer au Maroc.
Pour les soustraire à la féroce répression et probablement à
l’autorité française, l’émir Abdelkader exhorta les tribus Bani
Ameur à émigrer au Maroc. Ce fut un exode terrible. En plein hiver,
des milliers d’hommes, de femmes, d’enfants et de vieillards,
emportant quelques maigres vivres, poussant devant eux ce qui
restait de leurs troupeaux, abandonnent leurs terres et fuient vers
le Maroc. Une redoutable épreuve que cette marche de 500 kilomètres.
Nombre d’entre eux, les plus faibles, les vieillards, les malades,
les enfants ne purent supporter cette longue marche et périrent de
fatigue ou de maladies.
Les Ouled Brahim, dont on évaluait le
nombre à 10.000 en 1830, ne comptent plus que 3.000 individus en
1867, soit une décroissance de 70% ! Un véritable génocide[1] ».
Les « grillades enfumées » ou « les chambres à gaz »
La région du Dahra, entre Alger et Oran possèdent d’immenses grottes
pouvant contenir des centaines de personnes qui servaient de refuge
aux tribus de la contrée et jamais nul conquérant berbère ou arabe
ne viola la sécurité de ceux qui trouvaient refuge dans ces abris
sauf bien sur l’armée française.
En un an, à trois endroits différents, trois colonels français,
Cavaignac, Pélissier, Saint-Arnaud, firent périr trois tribus
entières, femmes, enfants, vieillards et même troupeaux de bêtes
dans des grottes en les brûlant et les asphyxiant vives et ainsi ils
devancèrent Hitler d’un siècle, en utilisant le principe des
chambres à gaz !
La plus connue de ces « grillades enfumées » est celle commise par
Pélissier, en voici l’histoire :
« Le 19 juin 1845, la tribu des Oued-Riah, chassée de ses villages
par l’une de ces armées qui brûlait systématiquement tout sur leur
passage, se réfugia dans les grottes avec ses troupeaux. L’armée de
Pélissier la poursuivit et lui ordonna de sortir. Celle-ci accepta à
condition que les
troupes françaises se retirent pour ne pas être massacrée. Mais le
maudit Pélissier refusa et à trois heures de l’après-midi, fit
allumer, à chaque entrée des grottes, de vastes feux, qui furent
alimentés et attisés toute la journée et toute la nuit jusqu’au
lever du jour.
Dans une lettre, un soldat fit la description de ce qu’il vit
lorsque les feux furent éteints et que l’armée entra dans la
grotte :
« Quelle plume saurait rendre ce tableau ? Voir au milieu de la
nuit, à la faveur de la lune, un corps de troupes français occupé à
entretenir un feu infernal ! Entendre les sourds gémissements des
hommes, des femmes, des enfants et des animaux ; le craquement des
rochers calcinés s’écroulant, et les continuelles détonations des
armes ! Dans cette nuit, il y eut une terrible lutte d’hommes et
d’animaux !
Le matin, quand on chercha à dégager l’entrée des cavernes, un
hideux spectacle frappa les yeux des assaillants. J’ai visité les
trois grottes, voici ce que j’y ai vu :
A l’entrée, gisaient des bœufs, des ânes, des moutons ; leur
instinct les avait conduits à l’ouverture de la grotte pour respirer
l’air qui manquait à l’intérieur. Parmi ces animaux, et entassés
sous eux, on trouvait des hommes, des femmes et des enfants. J’ai vu
un homme mort, le genou à terre, la main crispée sur la corne d’un
bœuf. Derrière lui était une femme tenant son enfant dans ses bras.
Cet homme, il était facile de le reconnaître, avait été asphyxié,
ainsi que la femme, l’enfant et le bœuf, au moment où il cherchait à
préserver sa famille de la rage de cet animal.
Les grottes sont immenses ; on a compté 760 cadavres ; une
soixantaine d’individus seulement sont sortis, aux trois-quarts
morts ; quarante n’ont pu survivre ; dix sont à l’ambulance,
dangereusement malades ; les dix derniers, qui peuvent se traîner
encore, ont été mis en liberté pour retourner dans leurs tribus ;
ils n’ont plus qu’à pleurer sur des ruines[2] ».
Que la malédiction d’Allah et de toutes les créatures soit sur tous
ceux qui participèrent à ces crimes et je prie le Seigneur Tout
Puissant de les châtier des pires manières.
Au nom de la mémoire
- « Si ces gredins se retirent dans leurs cavernes, imitez Cavaignac
aux Sbéhas ! Fumez-les à outrance comme des renards[3] ».
Orléansville, 11 juin 1845.
- « « Imitez Cavaignac » ordonnait Bugeaud, « enfumez comme des
renards les Sbéhas réfugiés dans des grottes, tribu vaincue, tribu
sans défense » et le 12 août 1845, Saint-Arnaud à son tour, près de
Ténès, transformait d’autres grottes en « un vaste cimetière ou 500
brigands » y furent enterrés[4] ».
Afin que vous comprenez bien pourquoi ces mécréants sont bien ce
qu’ils sont, regardez en contre-exemple comment les Musulmans
traitaient les prisonniers :
- « Abd-el-Kader, écrit Saint-Arnaud, le 14 mai 1842, nous a renvoyé
sans condition, sans échange, tous nos prisonniers. Il leur a dit :
« Je n’ai plus de quoi vous nourrir, je ne veux pas vous tuer, je
vous renvoie ». Le trait est beau pour un barbare[5] ».
Saint-Arnaud était tellement aveugle qu’il ne se rendait même pas
compte que c’était lui le barbare !
Combien de Musulmans prisonniers des Français en auraient pu dire
autant ?
Combien de Musulmans furent envoyés à la mort dans les mines
françaises de fer et de charbon pour l’essor de la France ? Mais
bien pire même les « nègres » et les « bougnouls »
qui combattirent pour la libération de la France furent
massacrés après services rendus à la patrie et les survivants furent
rayés des paies et des retraites de l’armée ! Si ces mécréants
ingrats et peu reconnaissants n’ont déjà aucune pitié pour les morts
comment auraient put-il en avoir pour les vivants !
Sacrifice des tirailleurs à la bataille de Froeschwiller le 6 août
1870.
« [Le 4 août devant Wissembourg], surpris dans sa position par
l’armée du prince royal, forte de 180.000 hommes, le général Douay
[sous les ordres de Mac-Mahon], avec ses 9.000 hommes n’hésite pas
et livre combat. [...] Les régiments algériens montent à l’assaut
des hauteurs : le 1er Turcos, sous les ordres de l’adjudant-major
Bertrand, fait des prodiges ; un autre bataillon algérien,
commandant Lammerz, couvre la ville pendant la défaite. Les cadavres
jonchent le sol de toutes parts. Les indigènes vaincus, blessés, ne
lâchent pas pied. Ecrasés par la mitraille, désarmés, ils combattent
encore. C’est avec les dents qu’ils déchirent maintenant l’ennemi
qui les clous, à coups de baïonnette, sur le sol. L’héroïsme des
Arabes tués, blessés ou faits prisonniers, en ces journées de
Wissembourg et de Woerth, sauva d’un désastre, d’une boucherie sans
précédent le gros de notre armée française ».
On lit aussi dans le livre d’histoire d’Albert Malet : « L’armée
française, battue le 4 à Wissembourg, est refoulée de Woerth par
l’armée du Prince Royal de Prusse. Pour couvrir sa retraite
Mac-Mahon sacrifie ses dernières troupes de réserve. Alors
apparurent les tirailleurs algériens. Ils avaient combattu
l’avant-veille toute la journée à Wissembourg. Ils étaient 1.700.
Déployés en ligne, comme à la parade, sans tirer un coup de feu,
criant d’une seule voix : « A la baïonnette! », ils s’élancèrent.
Rien ne tint devant eux. En quelques minutes, ils reprennent les
pièces perdues, le village d’Elsasshausen et, toujours courant,
poursuivaient les Allemands jusqu’à la lisière d’un bois. Là, contre
un ennemi bien à couvert, leurs charges, trois fois renouvelées,
furent vaines. Quand les tirailleurs, décimés par la mitraille, se
retirèrent, ils laissèrent sur le terrain 800 hommes, la moitié de
leur effectif. La charge des tirailleurs, la résistance acharnée de
quelques débris de régiment ..., permirent la retraite sur
Reichshoffen ».
Fin décembre 1870, Gambetta, ministre de la Guerre donne l’ordre de
mobiliser les spahis d’Algérie et de les embarquer aussitôt à
destination de Marseille. Les spahis d’Aïn Guétar, près de la
frontière tunisienne, se mutinent les premiers. Ils refusaient
d’aller combattre en Europe où déjà nombre des leurs avaient laissé
la vie. Les mutineries des spahis sont le prélude à la révolte qui
éclate le 23 janvier 1871 en Algérie[6].
L’engagement sur « l’honneur »
« La liberté des habitants de toutes les classes, leur religion,
leurs propriétés, leur industrie ne recevront aucune atteinte... Le
général en chef en prend l’engagement sur l’honneur »
« Les propriétés des habitants ne recevront aucune atteinte... » Tel
était l’un des engagements solennels qu’avait pris la France, le 5
juillet 1830, en entrant à Alger. Voyons si au moins celui-ci fut
respecté.
Les Algériens furent aussi chassés petit à petit de leur terre au
profit des riches propriétaires terriens venus de France et
d’Espagne qui employaient non seulement gratuitement la main d’œuvre
mais les châtiait quand les « indigènes » ne travaillaient pas assez
rapidement et allaient jusqu’à même leur interdire de manger les
produits qu’ils cultivaient, comme me l’a raconté ma mère ! Et si
l’un d’entre eux était pris en train de manger, il pouvait perdre sa
vie et être emprisonné.
Des lois furent aussi passées qui affirmaient que la propriété était
« inviolable », « sans distinction entre les indigènes et les
Français » mais de tout temps les Français furent champions dans
l’application des lois à trois vitesses, qui étaient différemment
interprétés en fonction de la couleur de peau, du pays d’origine et
du patronyme. Quant aux services rendus pour la patrie, je vous mets
le doigt dans l’œil !
L’Etat français successeur du Dey devint donc propriétaire des
terres de tribus et la tribu n’était que le locataire de l’état,
l’état qui avait tous les droits pour réduire ou spolier les terres
des tribus. Les tribus étaient donc cantonnées sur une toute petite
partie de ses terres tandis que le reste était pris par l’état qui
le donnait aux colons. Et donc en vertu de la loi de 1851, plus de
60.000 hectares passèrent des mains des tribus arabes à celles de
l’état français.
Les opérations, qui devaient renforcer le droit de propriété des
indigènes devinrent ainsi un des moyens les plus actifs de leur
spoliation ; ce n’est pas moi qui le dit, c’est le professeur
Larcher, la plus haute autorité en matière de droit algérien[7].
Ainsi, en 1900, en vertu de ces différentes lois 2.250.560 hectares
des régions des hauts-plateaux et sahariennes seulement, furent
classés domaines de l’état, exactement comme en Palestine ou les
habitants ancestraux furent chassés de leurs terres qui furent
volées comme nous le verrons dans l’histoire de la Palestine, si
Dieu le veut.
Ainsi chaque nouvelle loi qui venait confirmer l’inviolabilité de la
propriété arabe et les droits des indigènes entraînait de nouvelle
perte de leurs droits et une plus large spoliation, typique exemple
de la justice à la française !
Bien sur ces lois n’étaient faites que pour le prestige
international quant à la réalité sur le terrain, elle n’avait besoin
de nulle loi et d’aucun papier pour s’approprier les terres qui lui
convenaient quand bon semblait à l’état ou aux colons. Ainsi tous
les biens des Ottomans turques d’Algérie furent appropriés par
l’état français.
Et conformément à l’engagement sur l’honneur du Général de Bourmont
que « la liberté des habitants de toutes les classes, leur religion,
leurs propriétés, leur industrie ne recevront aucune atteinte... »,
la plupart des mosquées furent rasées quand elles ne furent pas tout
simplement transformés en églises comme celle de Ketchaoua, la
cathédrale actuelle d’Alger.
Et lorsque l’Algérie fut mise à sac et à sang et que les Algériens
perdirent leurs droits à la vie, leurs biens, leurs terres et leur
honneur suite à « l’engagement sur l’honneur », ces actes furent
régularisés par un arrêté du ministre de la guerre du 1er juillet
1848 en vertu duquel toutes les victimes des voies de fait se
trouvèrent irrévocablement dépouillées[8].
La cruelle réalité de la mission « civilisatrice »
- « Une race de maîtres et de soldats, c’est la race européenne » et
« Une nation qui ne colonise pas est irrévocablement vouée au
socialisme, à la guerre du riche au pauvre. La conquête d’un pays de
race inférieure, par une race supérieure, qui s’y établit pour le
gouverner, n’a rien de choquant... Autant les conquêtes entre races
égales doivent être blâmées, autant la régénération des races
inférieures par les races supérieures est dans l’ordre providentiel
de l’humanité. L’homme du peuple est presque toujours chez nous un
noble déclassé ; sa lourde main est mieux faite pour manier l’épée
que l’outil servile... Versez cette dévorante activité sur des pays
qui comme la Chine, appellent la conquête étrangère... chacun sera
dans son rôle. La nature a fait une race d’ouvriers ; c’est la race
chinoise, d’une dextérité de main merveilleuse sans presque aucun
sentiment de l’honneur... gouvernez-la avec justice... elle sera
satisfaite ; - une race de travailleurs de la terre, c’est le nègre,
soyez bon pour lui et humain et tout sera dans l’ordre ; - une race
de maîtres et de soldats, c’est la race européenne[9] ».
Ces propos racistes et nazis et sioniste de 1871 sont d’Ernest Renan
et sont suivis par ceux de Jules Ferry !
- « Les races supérieures ont un droit sur les races inférieures »,
« La première forme de la colonisation, c’est celle qui offre un
asile et du travail au surcroît de population des pays pauvres ou de
ceux qui renferment une population exubérante. [...]
Mais il y a une autre forme de colonisation, c’est celle qui
s’adapte aux peuples qui ont, ou bien un excédent de capitaux, ou
bien un excédent de produits. [...] Les colonies sont pour les pays
riches un placement de capitaux des plus avantageux. [...] Dans la
crise que traversent toutes les industries européennes, la fondation
d’une colonie, c’est la création d’un débouché. [...]
Messieurs, il faut parler plus haut et plus vrai ! Il faut dire
ouvertement qu’en effet les races supérieures ont un droit vis-à-vis
des races inférieures [...] [Remous sur plusieurs bancs à l’extrême
gauche] parce qu’il y a un devoir pour elles. Elles ont un devoir de
civiliser les races inférieures. [...]
Ces devoirs ont souvent été méconnus dans l’histoire des siècles
précédents, et certainement quand les soldats et les explorateurs
espagnols introduisaient l’esclavage dans l’Amérique centrale, ils
n’accomplissaient pas leur devoir d’hommes de race supérieure. Mais
de nos jours, je soutiens que les nations européennes s’acquittent
avec largeur, grandeur et honnêteté de ce devoir supérieur de la
civilisation. [...]
A l’heure qu’il est, vous savez qu’un navire de guerre ne peut pas
porter, si parfaite que soit son organisation, plus de 14 jours de
charbon et qu’un navire qui n’a plus de charbon est une épave sur la
surface des mers abandonné au premier occupant. D’où la nécessité
d’avoir sur les mers des rades d’approvisionnement, des abris, des
postes de défense et de ravitaillement[10] ».
En fonction de ces pensées extrémistes et totalitaires par ces
penseurs qui furent à la France ce que Friedrich Nietzsche fut pour
les nazis, nous pouvons passer en revue les exactions civilisatrices
des colonisateurs. Bien sur ce n’est qu’un simple échantillon pour
vous donner une idée réelle de quelles furent et il serait normal
que la France paient des dédommagements aux Algériens comme les
américains en paix aux natifs, l’Allemagne aux Juifs et demain les
Juifs aux Palestiniens.
Le racisme et le concept de la suprématie de la race blanche qui
étaient alors la pensée en vogue à l’époque permirent aux gens de
rapporter en toute franchise leurs exactions enregistrées et
attestées par des livres authentiques que vous pouvez téléchargez
gratuitement. Ces concepts sont toujours en vogue et
particulièrement de nos jours mais de manière beaucoup plus discrète
grâce à la police juive mondiale et les gens s’y prendront à deux
fois avant de rapporter leurs pensées exceptés un certain nombre
d’extrémistes qui ont pignon sur rue et qui se lamentent des « bons
souvenirs du colonialisme ».
[1]
Hani
Abdelkader - La Voix de l’Oranie 01/02/09.
[4]
Lettres du Maréchal Saint-Arnaud, tome II, p. 37.
[5] Lettres du Maréchal Saint-Arnaud, tome I, p. 385.