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Jibla
Ibn ‘ Abbas a dit qu’ils s’agissaient de vertueux
parmi les gens de Nouh qui lorsqu’ils
décédèrent, les gens se rendaient à leurs tombeaux
et finirent finalement par les adorer. Nous avons
donné précédemment assez de renseignements sur leurs
cultes pour éviter leurs répétitions ici.
Selon Ibn Ishaq et d’autres, ayant fait ces
changements dans la religion d’Isma’il, les Arabes
continuèrent à avoir des idoles.
Banou Kalb Ibn Wabra Ibn Taghlib Ibn Houlwan Ibn
‘Imran Ibn al-Haf Ibn Qouda’a avait une idole
appelée Wadd dressée à Doumat al-Jandal. Dans un
endroit appelé Rouhat il y avait Souwa’, l’idole des
Banou Houdayl Ibn Ilyas Ibn Moudrikah Ibn Madar.
Yaghouth était l’idole des Banou An’am de Tayyi et
Jourash, dressée dans le même lieu, pour les gens de
de Madhhij. Il ya avait aussi Ya’ouq dans les
terres de Hamdan au Yémen, utilisée par les
Banou Khaywan, une tribu de Hamdan. A Himyar
se trouvait Nasr qui appartenait à une tribu appelée
Dzou al-Koula’.
Ibn Ishaq poursuit en disant que Khawlan
avait dans leur terre une idole appelée ‘Amm Anas.
Il est dit, qu’ils mettaient de côté une partie de
leurs récoltes et bétail pour les partager entre
elle et Allah. La part d’Allah était partagée entre
‘Amm Anas qu’ils laissaient pour cette dernière
tandis que ce qui était mis de côté pour ‘Amm Anas
entrait dans la part mise de côté pour Allah, qu’ils
redonnaient à ‘Amm Anas. C’est à leur sujet qu’Allah
révéla : « Et
ils assignent à Allah une part de ce qu’Il a
Lui-même créé, en fait de récoltes et de bestiaux,
et ils disent : « Ceci est à Allah - selon leur
prétention ! - et ceci à nos divinités. » Mais ce
qui est pour leurs divinités ne parvient pas à
Allah, tandis que ce qui est pour Allah parvient à
leurs divinités. Comme leur jugement est mauvais
! » (Qur’an 6/136)
Les Banou Milkan Ibn Kinana Ibn Khouzaymah Ibn
Moudrikah avait une idole appelée Sa’d, une grand
rocher en plein désert dans leur territoire. Il est
dit qu’un de leurs hommes emmena un troupeau de ses
chameaux tout près pour recevoir la bénédiction de
l’idole mais quand les chameaux, qui étaient
destinés à être mangés (de la viande) et pas montés,
virent l’idole tachée du sang des sacrifices, ils
restèrent à l’écart et se dispersèrent dans toutes
les directions. Leur maitre devint alors furieux,
ramassa une roche et l’a lancé sur l’idole, en
disant : « Puisse Allah ne pas te bénir ; tu as fait
fuir mes chameaux ! » Puis, il partit à leur
poursuite pour les retrouver et les regrouper. Quand
il fit ainsi, il dit ces vers :
« Nous sommes venus à Sa’d pour qu’ils nous
rassemblent mais Sa’d nous a dispersés donc nous ne
sommes pas de Sa’d.
Est-ce que S’ad est-il pas autre chose qu’une pierre
dans le désert n’offrant aucune prière pour
personne, qu’il soit égaré ou bien guidé. »
Ibn Ishaq poursuit en disant que les Daws
avaient une idole appartenant à ‘Amr Ibn Houmama
ad-Dawsi. De plus Qouraysh avait dressé une idole
nommée Houbal sur un puit à l’intérieur de la
Ka’bah. Comme susmentionné, Ibn Hisham a rapporté
que ce fut la première idole dressée par ‘Amr Ibn
Louhay, qu’Allah le maudisse.
Ibn Ishaq poursuit qu’ils adoptèrent Isaf et Na’ila
comme dieux qu’ils dressèrent près du puits de
Zamzam où ils sacrifiaient pour eux et qu’il
s’agissait d’un homme et d’une femme qui avaient
coïtés dans la Ka’bah et qu’Allah transforma donc en
deux roches.
Ibn Ishaq rapporte que ‘AbdAllah Ibn Abou Bakr Ibn
Muhammad Ibn ‘Amr Ibn Hazm a dit que
‘Amra citant ‘Ayshah a dit : « Nous avons toujours
entendu dire qu’Isaf et Na’ila étaient un homme et
une femme de Jourhoum qui forniquèrent dans la
Ka’bah, qu’Allah, Tout-Puissant et Glorieux,
transforma donc tous les deux en pierre. » Et Allah
est Plus Savant.
Et il est aussi dit qu’Allah n’a pas remis leur
punition après leur fornication mais qu’Il les
transforma avant l’acte et que par la suite ils
furent dressés sur les montagnes d’as-Safa et
d’al-Marwah. Ce n’est qu’à l’époque de ‘Amr Ibn Louhay,
qu’ils furent placés tous les deux à Zamzam et que
les gens commencèrent à circumambuler.
Sur ce sujet Abou Talib a dit ce vers :
« Où les Ash’aroun agenouillent leurs montures, où
les ruisseaux coulent d’Isaf et de Na’il. »
Al-Waqidi a dit que lorsque le Messager d’Allah
(sallallahou ‘aleyhi wa sallam), le jour où il
conquit La Mecque, ordonna la destruction de Na’ila,
il en émergea une femme noire avec les cheveux gris
se griffant son visage, se lamentant et en gémissant
lourdement.
As-Souhayli a dit qu’Aja et Soulma, sont deux
montagnes du Hijaz, qui furent nommés d’après
un homme appelé Aja Ibn ‘Abd al-Hayy qui
forniqua avec Soulma, la fille de Ham et
qu’ils furent tous les deux transformés en idoles
dans ces montagnes qui furent appelées comme eux. Il
a dit aussi qu’entre Aja et Soulma, Tayyi avait une
idole appelée Qals.
Ibn Ishaq continue en disant que les gens de chaque
maison avaient une idole qu’ils adoreraient chez eux
et que si un homme entreprenait un voyage, il
touchait l’idole avant son départ. C’était aussi ce
qu’il faisant dès son retour avant de rejoindre sa
famille. Quand Allah envoya Muhammad
(sallallahou ‘aleyhi wa sallam) avec le message de
l’Unicité d’Allah, Qouraysh dit : « Il a fait des
dieux un seul Dieu ! Comme c’est bizarre ! »
Ibn Ishaq poursuit en racontant qu’avec la
Ka’bah, les Arabes ont vénérèrent d’autres
divinités, des édifices qu’ils honorèrent de façon
presque identique qu’ils le faisaient avec la
Ka’bah, qui avaient des dépositaires et des prêtres
et à qui des offrandes étaient faites tout comme
pour la Ka’bah, avec les rituels de circumambulation
et les sacrifices de sang. Cependant, ils
reconnaissaient toujours la préséance de la Ka’bah
sur eux parce que c’était l’édifice et la mosquée
d’Ibrahim, l’Ami d’Allah, (‘aleyhi salam).
Les Qouraysh et les Banou Kinana avaient une idole
appelée al-‘Ouzzah à Nakhla et les Banou Shayban de
Soulaym, les alliés des Banou Hashim, étaient ses
dépositaires et prêtres qui furent conquit par
Khalid Ibn al-Walid et qui détruisit l’idole comme
nous le rapporterons.
Al-Lat était l’idole de Thaqif à at-Ta'if. Ses
dépositaires et les prêtres étaient les Banou
Mou’attib de Thaqif. Abou Soufyan et al-Moughirah
Ibn Shou’bah l’a détruisirent lorsque les gens
d’at-Ta'if acceptèrent l’Islam, comme nous le
verrons plus tard.
Manat était l’idole des tribus des Aws et des
Khazraj et des gens de Médine qui partageaient leur
religion avec la région côtière, vers al-Moushallal
dans Qoudayd. Abou Soufyan la détruisit tandis que
d’autres disent que c’était ‘Ali Ibn Abou Talib
comme nous le verrons.
Dzou al-Khalassah était l’idole de Daws, Khath’am,
Bajilah et des Arabes du territoire de Tabalah. Elle
était appelée la « ka’bah du sud (Yéménite), »
tandis que celle de La Mecque était connu comme la
« Ka’bah du Nord (Syrienne). » Jarir Ibn ‘AbdAllah
al Bajli l’a détruisit, comme nous l’expliquerons.
Qals était une idole de Tayyi ainsi que ses deux
montagnes proches, Aja et Soulma, comme nous l’avons
déjà rapporté.
Ri’am était un temple de Himyar et les gens
du Yémen, comme nous l’avons mentionné dans
l’histoire de Toubba’, un des rois de Himyar
et de l’histoire des deux rabbins et du chien noir
qui en sortit quand ces deux derniers le
détruisirent.
Rouda’ était un temple des Banou Rabi’ah Ibn Ka’b
Ibn Sa’d Ibn Zayd Manat Ibn Tamim à propos de qui
al-Moustawghir Ka’b Ibn Rabi’ah Ibn Ka’b dit ce
vers :
« J’ai frappé Rouda’ si violemment que je l’ai
abandonnée en ruine dans une plaine noire.
Et ‘AbdAllah aida à l’anéantir et avec les pareils
de ‘AbdAllah les péchés sont effacés. »
Il est dit que cet al-Moustawghir vécut 330 ans et
qu’il est celui qui vécut le plus longtemps de tout
Moudar. C’est lui qui dit ces vers :
« Je me suis lassé de la vie et de sa longueur ;
J’ai vécu pendant des années dans leurs centaines ;
Un siècle suivi par deux autres, additionnant les
années de tous les nombreux mois.
Reste-t-il autre chose que ce que nous avons déjà
passé ? Les jours et les nuits passent et nous
exhortent. »
Selon Ibn Hisham ces vers devraient être attribuées
à Zouhayr Ibn Janab Ibn Houbal.
As-Souhayli a rapporté que les personnes qui
vécurent plus longtemps que deux cents ou trois
cents ans dont ce Zouhayr sont : ‘Oubayd Ibn
Shariyya, Daghfal Ibn Hanzala an-Nassaba, al-Rabi’ah
Ibn Daba’ al-Fouzari, Dzou al-Isba’ al-‘Adwani et
Nasr Ibn Dihman Ibn Ashja’ Ibn Rayth Ibn
Ghatafandont les cheveux redevinrent noirs après
avoir été blancs et son dos droit après avoir été
courbé.
Le récit d’Ibn Ishaq reprend et en indique
que Dzou al-Ka’baht était une idole de Bakr et
Taghlib les deux fils de Wa’il et Iyad à Sandad au
sujet de qui, A’sha de Banou Qays Ibn Tha’labah a
dit :
« Entre al-Khawarnaq, as-Sadir, Bariq et le temple
avec des remparts à Sandad. »
La première partie de ce poème est comme suit :
« J’ai appris, même si j’ai vécu plus longtemps, que
son sentier est celui suivit par les anciens.
Que puis-je espérer après que les Mouharriq ont
quitté leurs maisons et Iyad aussi après ?
Ils se sont installés à Anqara, où l’eau du Tigre
coulait vers eux, venant des hautes montagnes,
La terre d’al-Khawamaq, as-Sadir et Bariq et la
maison de temples de Sindad.
Les vents assaillirent les sites de leurs
habitations, comme si leur temps
était prédestiné,
Et je vois que le plaisir de toutes les choses
appréciées pourrit et finit. »
Selon as-Souhayli, al-Khawarnaq était un palais
construit par an-Nou’man l’ancêtre de Sabour afin
qu’il puisse avoir ses enfants avec lui. Il fut
conçu durant vingt ans par un homme appelé Sinammar.
Aucun bâtiment plus raffiné que celui-ci n’avait
auparavant été vu. An-Nou’man craignant que Sinammar
puisse en construire un semblable pour d’autres, le
jeta de ses hauteurs et le tua. Un poète dit ces
vers à son sujet :
« Il m’a récompensé, puisse Allah lui donner Sa pire
punition comme Sinammar fut récompensé alors qu’il
était innocent.
Pour son effort de vingt années sur l’édifice avec
les meilleures briques, le safran et la céramique.
Et quand le bâtiment fut complet et qu’il domina
comme une montagne ou une hauteur difficile
Il jeta Sinammar en bas sur sa tête ; c’est par
Allah, l’un des actes les plus ignominieux jamais
faits. »
As-Souhayli a rapporté qu’al-Jahiz l’a cité dans son
livre Kitab
al-Hayaman. Le mot al-Sinammar est un des
noms de la lune. Ce qui est insinué ici, est que
tous ces édifices ont été détruits quand l’Islam est
venu. Le Messager d’Allah (sallallahou ‘aleyhi wa
sallam) envoya des détachements de ses hommes pour
les détruire chacun de ces palais et aussi les
idoles qu’ils brisèrent en morceaux. Finalement rien
ne resta pour rivaliser avec la Ka’bah et Allah Seul
et sans associé fut vénéré. Tout cela sera expliqué
en détail en temps voulu si Allah Tout-Puissant le
veut et en Lui est la confiance.
Il n’y a aucune question sur la certitude que ‘Adnan
est de la descendance d’Isma’il Ibn Ibrahim
(‘aleyhim salam) mais l’incertitude est sur le
nombre d’aïeuls qu’il y a de ‘Adnan à Isma’il selon
les sources différentes.
Selon une analyse exhaustive, il y a le point de vue
extrême qui estime avoir été quarante et c’est le
point de vue des Chrétiens et des Juifs adoptés des
écritures de Rakhiya, le scribe d’Irmiya Ibn Halqiya[1],
comme nous le verrons.
Certaines autorités maintiennent trente
(descendants), d’autres vingt, quinze, dix, neuf, et
sept.
Il est dit que l’estimation la plus basse rapportée
est de quatre, selon le récit de Moussa Ibn Ya’qoub
sur l’autorité de ‘AbdAllah Ibn Wahb Ibn Zoum’a
az-Zouma’i, de sa tante, d’Oumm Salamah qui a
déclaré que le Prophète (sallallahou ‘aleyhi wa
sallam) a dit que la lignée était : « Ma’ad Ibn
‘Adnan Ibn Adad Ibn Zand Ibn al-Yara Ibn A’raq
ath-Thara. »
Selon Oumm Salamah ce Zanad était al-Hamaysa’,
al-Yara était Nabit, tandis qu’A’raq ath-Thara était
Isma’il, sous-entendu qu’il était Ibn d’Ibrahim car
Ibrahim n’a pas été consommé par l’enfer, comme le
feu ne consomme pas la terre humide, le sens
d’ath-thara.
Ad-Darqatni a dit qu’il ne connaissait aucun
Zand sauf celui dans cette tradition et Zand Ibn
al-Jawn, qui était le poète Abou Dalama.
Abou al-Qassim as-Souhayli et d’autres Imams ont
déclaré que l’échelle du temps entre ‘Adnan et
Isma’il est trop grande pour qu’il ait eu seulement
quatre, dix, ou même
vingt générations entre eux. Ils ont avancés cela,
parce que le fils de Ma’ad Ibn ‘Adnan était âgé de
douze ans à l’époque de Boukhtanassar[2].
Abou Ja’far at-Tabari et d’autres ont rapporté
qu’Allah Tout-Puissant révéla à cette époque à
Irmiya Ibn Hayqiya d’aller chez Boukhtanassar
et de l’informer qu’Allah lui avait donné le pouvoir
sur les Arabes. Allah ordonna à Irmiya d’emmener
avec lui Ma’ad Ibn ‘Adnan sur la monture al-Bouraq
pour qu’ils n’aient pas d’amertume, disant : « Car
je tirerai de ses lombes un noble Prophète par qui
je scellerais les Prophètes. »
Irmiya transporta Ma’ad sur al-Bouraq dans la terre
de Syrie où il grandit parmi les Juifs qui s’y
trouvaient suite à la destruction du temple de
Jérusalem. Là il se maria avec une femme appelée
Ma’ana, la fille de Jawshin des Banou Dibb Ibn
Jourhoum, avant de revenir dans ses propres terres
après que l’agitation se fut calmé en bas et
l’entente régnait dans la péninsule d’Arabie.
Rakhiya le scribe écrivit la généalogie de son
maître dans un document qu’il avait et devait être
placé dans la bibliothèque d’Irmiya et préserva de
la même façon la généalogie de Ma’ad. Et Allah est
Plus Savant.
Et c’est pourquoi Malik, qu’Allah le bénisse, ne
s’est pas enthousiasmé sur la tentative de remonter
la généalogie jusqu’à avant ‘Adnan.
As-Souhayli a remarqué de plus : « Nous avons
essentiellement essayé de discuter ces lignées pour
nous accorder avec l’école de pensée de ces savants
qui ni ne le préfèrent et ni ne le désapprouvent,
comme Ibn Ishaq, al-Boukhari, az-Zoubayr Ibn
Bakkar, at-Tabari et d’autres. »
Quant à Malik, puisse Allah lui faire miséricorde,
il exprima la désapprobation quand questionné sur
quelqu’un qui fait remonter sa descente à Adam et
fit la remarque : « D’où lui vient la connaissance
de cela ? » Quand on lui demanda sur la fait de la
remonter à Isma’il, il exprima aussi la
désapprobation semblable, en disant : « Qui peut
fournir de tels renseignements ? »
Malik détesta aussi retracer la généalogie des
Prophètes comme en disant : « Ibrahim fils d’untel
et untel. » Al-Mou’ayti l’a rapporté dans son livre.
As-Souhayli a remarqué aussi que le point de vue de
Malik ressemble à ce qui a été rapporté de ‘Ourwah
Ibn az-Zoubayr qui dont il est rapporté avoir dit :
« Nous n’avons trouvé personne qui connait la lignée
entre ‘Adnan et Isma’il. »
Il est rapporté qu’Ibn ‘ Abbas a dit : « Entre
‘Adnan et Isma’il il y a 30 ancêtres qui sont
inconnus. »
On suppose aussi qu’Ibn ‘ Abbas a dit quand la
descendance était remontée jusqu’à ‘Adnan : « Les
généalogistes ont menti, deux fois ou trois fois. »
Et c’est encore plus caractéristique d’Ibn Mas’oud,
qui était (de l’avis) comme Ibn ‘Abbas.
‘Umar Ibn al-Khattab a rapporté : « Nous remontons
la généalogie jusqu’à ‘Adnan seulement. »
Abou ‘Umar Ibn ‘Abd al-Bar a rapporté dans son livre
al-Anba fi
Ma’rifat Qaba'il ar-Rouwah qu’Ibn Lahi’a a
rapporté d’Abou al-Aswad qu’il entendit ‘Ourwah Ibn
az-Zoubayr dire : « Nous n’avons jamais trouvé
personne qui connait la généalogie avant ‘Adnan, ni
avant Qahtan, à moins qu’ils n’utilisent la
conjecture. »
Abou al-Aswad a déclaré qu’il entendit Abou Bakr
Souleyman Ibn Abou Khaythama, un des hommes les plus
instruits sur la poésie et la généalogie de
Qouraysh, dire : « Nous n’avons jamais connu
quelqu’un qui avait des informations sur avant Ma’ad
Ibn ‘Adnan, tant sur la poésie que toute autre
science. »
Fin de notre traduction… |
Khulan